Ce matin, en rangeant mes notes de causerie, je suis tombé sur cette phrase écrite de ma plume (serait-elle de moi ou recopiée avec l’indélicatesse de n’en n’avoir pas mentionné l’auteur ?) – qu’importe, je cite : L’écriture d’un journal affine notre perception du monde, tant dans les situations de tous les jours que dans une globalité plus politique ou historique ; elle aide à mieux se situer, à prendre place et parole dans la vie, à clarifier sa pensée, à développer sa conscience des êtres et des choses. Bon, même si la phrase n’est pas de moi, elle résume bien notre première causerie dominicale et c’est ça qui compte, n’est-ce pas ?
Vous trouverez quelques références de journaux dont on a parlé ici.
Pendant ce temps, la France d'en bas apprenait que la France den haut fraudait au fisc. Bon, elle sen doutait un peu, la France den bas, mais en découvrant la foultitude de fraudeurs et les montants faramineux détournés des bonnes caisses, la France d'en bas en est tombée de haut.
Vous trouverez quelques références de journaux dont on a parlé ici.
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Pendant ce temps, la France d'en bas apprenait que la France den haut fraudait au fisc. Bon, elle sen doutait un peu, la France den bas, mais en découvrant la foultitude de fraudeurs et les montants faramineux détournés des bonnes caisses, la France d'en bas en est tombée de haut.
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